[RP] FONDATION - Ras-le-bol & enrôlements

**Nysse** Messages : 358 Date d'inscription : 22/06/2015

Dames, Sires,

HRP : Ce sujet est destiné à permettre à chacun de raconter comment son personnage a rejoint les Vicomtes Pourfendeurs. Je vais l'initier en rappelant l'origine mythologique de l'équipe, préservée par la tradition orale puisque je découvre avec stupeur et effarement que le Voïvode n'a jamais posté sa description RP (bad, baaad Voïvode). Je me permets donc très librement d'écrire un morceau de RP starring Voïvode : lequel a toute latitude pour remplacer ou modifier ledit texte à l'avenir, mais je m'autorise tout de même cet écart des règles tacites du RP afin de ne pas retarder plus encore l'élaboration de nos récits fondateurs.

"La barrrrbe ! s'écria le Voïvode alors que les poils de la sienne opéraient une rencontre stratégique avec la pointe acérée d'un pieu, qui lui eût autrement percé le coeur. On peut jamais dorrrmirrr trrrranquille ici !"
En grommelant des chapelets de jurons dont seul un vieillard pluricentenaire réveillé d'un sommeil de tombeau peut apprécier l'infinie diversité, le vampire entreprit de défaire ses opposants. D'un revers de ses courtes lames, il envoya le premier, un gamin d'une soixantaine d'années vêtu d'un bizarre accoutrement clouté - "encorrre un de ces fans qui crrroient que se vêtirrrr comme un cerrrcueil me donnerrra envie de morrrrdrre", pesta le Voïvode - faire une sieste de laquelle il ne risquait pas d'être dérangé. Puis, se tournant vers le jeune humain de courte taille qui l'accompagnait, il demanda, son ton courroucé faisant blêmir encore la peau à la pâleur étudiée :
"Dites-moi, mon garrrrçon, pouvez-vous me dirrrre en quelle année vous osez me rrréveiller ?
- ...2-2015, mons-monseigneur, bredouilla l'adolescente, moins certaine d'un coup de vouloir approcher la Noirceur Suprême que M. Helsing Jr. avait décrite.
- 2015 ?! s'écria le vampirrrre, dont l'irrrrritation allait crrroissant*. Eh bien, ça ferrrra l'affairrre, maintenant que je suis rrrrréveillé. Je vous rrremerrrrrcie, mon garrrrçon, de m'avoirrr apporté mon petit déjeuner".

Alors qu'il dégustait ce dernier, sa colèrrre semblant s'apaiser à mesure qu'il se sustentait, une idée germa dans son esprit pourtant empoussiéré.
"- Je crrrois que je vais prrrendrrre les choses en main, désorrrmais. Mon grrrrand âge m'a donné quelque expérrrrrience des choses de la morrrt, et je puis sans doute les trrrransmettre à mes pairrrs. J'ai entendu parrrler de camarrades de la camarrrrde qui nourrissaint le prrrrrojet de mettrrre surrr pieds quelque grrrroupe de self-defense pour immorrrtels et autrrrrres crrréatures nocturrnes. Ce pourrrait êtrrre prrrofitable, et j'aurrais sans doute quelques brrroutilles à apporrrter moi-même. Et puis à rrrrester crrrroupirrr dans mon caveau, je rrrrisque la phlébite. Qu'en pensez-vous, mon garrrrrçon ?" demanda-t-il à l'attention du corps inerte. Il attendit un instant, puis haussa les épaules, nullement offensé par le silence de son interlocutrice. "Oui, je crrrrois bien que je vais fairrrre cela".

Le vieux vampire se drapa dans sa cape puis, soignant sa prestance, s'avança d'un pas hautain vers la porte de son caveau, qu'il entreprit d'ouvrir.

"Arrrrrrgh ! Pas le soleil ! Je ne supporrrrte pas le soleil ! gémit-il d'une voix piteuse. Bon, ça peut bien attendrrrrre demain."

Sur ce, il repartit se coucher, laissant près de lui une note instruisant de l'éveiller à la tombée de la nuit.

*Ce qui semblait avoir pour effet de fairre déborrrrder l'accent sur la narrrration.

HRP : Caméo de Lucinda ? A vous de voir...

A vos récits ! Comment avez-vous rejoint les Vicomtes Pourfendeurs ?

hrp: precition, ce si est donc le moment où Anastasia arrive c'est le vicomte et que entre temps elle a prit en maturité, et que beaucoup de chose on changé pour elle.....

La jeune vampire entra dans le caveau de Voïvode qu'elle avait rencontré il y a de cela quelque temps au coup d'une réception d'ancien vampire donné par son père. Anastasia, lui avait confié ce jour la qu'elle préférerait manier l'épée que l'aiguille, et qu'elle voudrais bien savoir comment affronter le monde extérieur. Elle avait reçut un message de Voïvode, lui disant , qu'il l'invité a rejoindre son groupe de self défense, et qu'elle pourrait manier l'épée.
Elle tenta donc de se faufiler tant bien que mal entre les cadavre en putréfaction, jusqu'au cercueil de Voïvode. Remarqua le mot, regarda la montre a goucé qu'elle avait dans son petit sac de soie.... minuit bien passé, c'est plus que l'heur pour un vampire de ce reveiller:
-Voïvode... Voïvode..... oh c'est pas vais passé huit cent ans ça devient sourd et féniant au possible.... VOÏVODE!!!
-Arg! @&()&=''|}'"{§£%µ*#
- surveillé votre langage! j'ai reçut votre message, et je suis enchanté de votre invitation.
-Ah.... fort bien . si, vous avais faim servez vous, je cois que je les est pas tous finit.
-comment ça!!! Vous savez bien que je ne me nourrit que d’hémoglobine aristocratique. puis vous devriez mètre vos déchets dans la fausse commun... l'odeur est plus qu'imdisposente. Bon nous commençons quant?

(Note à moi même: changer la serrure de ce putain de Caveau)

Ah mais la porte était entre ouvert

Pour Ytka cela suit directement sa présentation
Après qu'Ytka est rencontré Boris Homolka, le « guide touristique » aux habitudes un peu douteuses, et que ce dernier lui ai parlé des vicomtes pourfendeurs elle décida d'en faire son armée impériale. Boris lui indiqua la route et elle partit d'un pas ferme. Dans la direction opposé.
Après avoir marché plusieurs heures elle passa devant un joli jardin public. Elle entra et demanda son chemin à un gentil personnage, qui resta très attentif à son interminable discours sur la possibilité d’élever des vers luisants afin qu'ils la suivent et l'éclairent dans le noir affin qu'elle arrête de se casser la gueule. Elle venait de s'emmêler les pieds dans sa cape pour la troisième fois d’affilée et ça l’énervait, elle enleva ladite cape pour lui montrer les accros fait en bas.
Ce monsieur était bien sympathique, il l’écouta parler des différentes sortes de choucroute pendant 3 heures, jusqu'à ce qu'une voix ne l’interrompe.
« Excusez moi, pourrrquoi parrrlez vous avec mon rrrepas ? »
Elle se retourna pour se retrouver face à une barbe.
« Hein ? »
« Vous parrrlez avec les rrreste d'hierrr soirrr. »
« Oh. C'est pour ça qu'il manque le bras et qu'il est tout sec. »
« Le brrras c'est pas moi. ». Voivode jaugea la jeune vampire qui le regardait d'un air abrutit puis haussa les épaule avant de marmonner dans sa barbe « Pas qu'sa a faire, je dois m'occuper des Vicomtes moi » puis tourna les talon.
« Vicomte ? Ah oui c'est vrai. » Elle donna sa cape au cadavre qui lui avait tenu compagnie. « Merci Josiane. » Puis elle poursuivit le vieux russe. « Hey, monsieur, monsieuurs ! Je dois vous poser des questions sur les vicomtes »

Voïvode leva les yeux au ciel, il avait le sentiments que ça allait être long.

Mila chevauchait comme à son habitude un peu avant le crépuscule, quand le soleil vermeil est déjà caché derrière les montagnes des Carpates mais qu'il ne fait pas encore tout à fait nuit. Elle arriva au dernier village de son judeţ, limitrophe à la Transylvanie et à la baronnie d'un voisin incommodant d'humanité et particulièrement agressif envers les non-morts.
En écoutant ce qui se disait chez les marchands qui rangeaient leurs étals et en discutant avec le croque-mort avec qui elle entretenait des liens plus que cordiaux, elle apprit que ledit baron avait encore fait des siennes à la frontière. Le bruit courait même qu'il avait réussi à engager des trolls pour s'assurer une victoire écrasant sur ce bon comté d'Argeș.
Apercevant au loin un tabard sombre qui s'affairait avec une marchande de pâtisseries, la conta sauta à bas de son destrier et fila à sa rencontre, attendant tout de même qu'il ait fini ce qu'il faisait. Faisait quoi d'ailleurs..? A moitié dissimulée derrière les bottes de thym d'un apothicaire juste à côté, elle risqua un œil ambré vers lui pour le voir ranger quelque chose dans sa poche. Le commandant de l'armée, formateur des légions nocturnes, mangerait-il des sucreries en douce ? La pensée qu'il puisse traquer et dévorer des triangles aux amandes la fit ricaner. Elle s'avança finalement à sa rencontre, guettant d'éventuelles preuves de sucre en poudre dans la barbe de l’intéressé, et lui fit part de ses inquiétudes concernant la virulence de certains mortels à leur égard.
Après quelques minutes elle remonta en selle, salua chaleureusement le Voïvode et lui promit de passer aux entraînements qu'il lui avait présenté.

Sur le trajet de retour jusqu'à Poenari, elle repensa à cette initiative fort judicieuse de préparer au combat ses consœurs et confrères. Ou repréparer, la plupart ayant déjà côtoyé les arts martiaux, mais le temps use même les réflexes des morts. Elle même ne s'était pas entretenue depuis la Guerre de Cents Ans et celles d'Italie, et en ces jours sombres d'attaques des Turcs, il leur fallait être prêts...

Maud était enfin arrivée en Europe de l'est, le voyage avait été éreintant... elle avait presque mis un an à rejoindre ces mystérieuses contrées boisées où les chants étranges des oiseaux rendaient le crépuscule magnifique et nostalgique. Maud se santait libre depuis la seconde ou elle avait posé le pied sur le navire qui l'emmena loin du monstre cracheur de fumée qu'est la Grande-Bretagne, elle se sentait emplie d'une nouvelle joie de vivre qu'elle n'avait connu depuis les soleils d'or de l'orient. Elle n'avait pas oublié l'histoire de cette magicienne si chère à son enfance, elle voulait trouver les Vicomtes Pourfendeurs. Seulement les choses ne se présentaient pas du meilleur augure, on lui avait en effet parlé d'un château recelant les plus merveilleuses des cartes et les plus terribles des créatures... Le hasard fait cependant bien les choses, ainsi Maud pénétra dans la demeure d'un certain Voïvode avec un timide : "Is there anyone ? "

**Kredhi** Messages : 7 Date d'inscription : 25/03/2017

"J'arrive !"

En entendant du bruit en bas des escaliers, Kredhi s'est précipitée, lâchant ses aiguilles de tricot. N'ayant pas vu le tas d'instruments et de vêtements qui encombraient le pas de la porte du couloir, elle tomba. Elle tomba longtemps. C'est fou ce qu'on peut tomber longtemps dans un escalier, pourvu que celui-ci soit un peu long, et ce peu importe la force avec laquelle on essaie de se rattraper aux marches. (Fichus châteaux aux escaliers sans rambardes !)
Au bout d'un moment, elle commença à agrémenter sa chute d'un chapelet de jurons, et alors qu'elle était en pleine voyelle, la chute s'arrêta. Sur le cou d'un visiteur.
Bon. Il y a des journées qui commencent mal, et il y a des journées où on grignotte sans même le faire exprès les invités de la famille. (En même temps, elle n'était pas prévenue de l'arrivée d'un vivant, tonton devrait être plus prévoyant)
Mais craignant tout de même de se faire gronder, parce que tonton ne rigole pas avec la survie des invités, Kredhi paniqua. Et, dans un dernier espoir de préservation, transforma l'autre individu en vampire en espérant que cela ne se remarque pas trop.

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